THE YOYO's BLOG

vendredi 4 mai 2007

Une période difficile

Non, je n'évoquerai pas l'approche du second tour des élections présidentielles. Je voulais plutôt parler de cette période qui revient chaque semestre dans la vie d'un étudiant : les révisions.
Cette période consiste en ceci : boulot, boulot, un peu de glandouille entre deux périodes de ..... boulot. Ahh !! qu'elle est trépidante cette vie de l'étudiant qui révise comme un fou parce qu'il se rend compte qu'il n'a pas travaillé comme il faut avant !
Vive la marque du stylo sur le majeur, à force d'écrire. Vive les nuits trop courtes et les jours de labeurs trop longs (et qui crééent des petites poches sous les yeux, hhmmm !!). Vive le bureau toujours pleins de feuilles mal rangées et où on ne retrouve rien.
Remarquez, tout étudiant moyen qui se respecte anticipe avec bonheur la fin des exams où il aura la chance d'en finir avec tout ça en se noyant dans l'alcool !
Vive les études !!!

mardi 1 mai 2007

Un train peut en cacher un autre




Ahhh !! qu'il est lassant de prendre le train, ce véhicule qui berce tout doucement pendant des heures et qui, d'une voix tout à fait harmonieuse, vous dis : "terminus, tout le monde descend !". Quel réveil en sursaut dés lors, ramasser les affaires qu'on a éparpiller un peu partout, attraper sa valise et traverser au pas de charge le wagon dans lequel on se trouve.


Heureusement, cela vaut parfois le coup : rejoindre sa chère et tendre, retrouver un ami depuis longtemps perdu de vue ou arriver dans un lieu de farniente plein de soleil et de douce chaleur.


Parfois cela peut devenir un parcours semé d'embuche, pour peu que le train arrive trop tard pour une correspondance, ou qu'une bande d'ado en mal d'émotions se mette à vandaliser un wagon, ou encore qu'une pauvre vache, qui n'avait rien demander à personne, se fasse écraser (pour ne pas dire écrabouiller) par le train lancer à 200km/h.


Pourtant, cela n'arrive que rarement et nous nous laissons doucement bercer par les roulis du train roulant sans entrave sur les rails. On a prévu un réveil 10 minutes avant l'arrivée pour être sûr de ne pas devoir jouer les sprinters, tout va bien, soyons zen. Reposons-nous tranquillement, la tête appuyé contre la vitre, ne prêtant même pas attention aux paysages de cette France si belle qui défile à toute vitesse.


Voyageurs, voyageuses, dormez sur vos deux oreilles, la sncf veille sur vous. Et comme dirait grand corp malade :


"C'est vrai que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,


Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,


Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare ?


Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ?"